Copère d’abord

En entrant dans la confrérie des quarteniers de la flamiche de Dinant, Arsène Burny jurait de rester fidèle à Dinant, à sa flamiche et au Savigny dont il allait déguster avec la flamiche, un 2010 produit chez Jacobs à Savigny-les-Beaune. Ce qu’il a fait avec plaisir. Au préalable, le grand maître Jean-Claude Warnant, avait retracé le curriculum bien fourni du père du Télévie et le bourgmestre Fournaux, grand bailli de la confrérie, avait passé le gorgerin traditionnel au cou du professeur, lui disant au passage, vous êtes ici chez vous. Le grand échanson, Godefroy Perot y alla encore d’une maxime de son cru qui fit bien rire Arsène Burny: le Savigny, c’est comme Activia, ça fait du bien à l’intérieur et cela se voit à l’extérieur. Mais en tant que chercheur, savez-vous comment ouvrir une bouteille de vin? D’abord le laisser respirer. Si cela ne suffit pas, lui faire du bouche à bouche…

Bon anniversaire

 

Le nouveau quartenier ignorait qu’un jour avant la date, on lui souhaite déjà un bon anniversaire. Oui, Arsène Burny, il n’y paraît pas, a fêté ses 80 printemps. « Nous avons un point commun, lui dit Richard Fournaux: nous cherchons des sous tous les deux». Pas dans le même but. Du tac au tac, Arsène Burny devait lui répondre, «nous sommes, en effet, deux mendiants». Le bourgmestre devait aussi dire tout l’honneur et toute la joie qu’il avait eue quand il avait appris que Dinant, désormais, travaillait pour le Télévie, il en félicita l’association FCRA qu’il remercia au nom de la Ville de Dinant.

Autre surprise pour le professeur Burny: il allait être fait citoyen d’honneur de la ville de Dinant. Arsène Burny a accueilli cette promotion comme un grand honneur .  Il remercia tous ceux qui avaient organisé cette soirée.